mongeneraliste.be est le site grand public de la SSMG. Vous pouvez y envoyer vos patients les yeux fermés : ils n’en reviendront pas médicalement désinformés.
mongeneraliste.be possède une rubrique « actualités » qui lui permet d’approfondir certains sujets scientifiques saisonniers ou évoqués par les médias. Ses récents conseils sur le bon usage des solutions antiseptiques font suite à l’avertissement lancé par la FDA américaine et relayé (entre autres) par Prescrire, sur des cas d’infections localisées ou généralisées faisant suite à l’application de produits antiseptiques manifestement contaminés. mongeneraliste.be en profite pour renvoyer les lecteurs à ses sujets sur la façon de soigner plaies et blessures et sur le tétanos.
Autre exemple de sujet d’actualité mis en exergue par le site : les échographies prénatales « souvenir » qui ont fait l’objet d’un récent avis du Conseil supérieur de la santé. Ce dernier met en garde les futures mères contre les échographies non médicales fournissant des images 3D ou 4D très éloignées des coupes noir et banc 2D obtenues en échographie médicale classique. Il recommande de ne pas céder à cette tentation, les nouvelles technologies qu’elles mobilisent induisant une exposition accrue de parties du corps du fœtus aux ultrasons dont on ne mesure pas encore les effets biologiques.
A côté des actualités, mongeneraliste.be allonge chaque mois sa collection d’articles sur des affections couramment rencontrées en médecine générale, toujours dans le but que vos patients les comprennent mieux, prennent de bonnes dispositions pour éviter des récidives (ou, en cas de chronicité, apprennent à « faire avec » au quotidien), soient informés de leurs éventuelles complications, des examens diagnostiques et des différents traitements indiqués.
Ce mois-ci, le site les plonge dans l’univers des arythmies cardiaques, soulignant que ressentir des symptômes ne veut pas dire que le problème est sérieux, mais ne rien ressentir ne signifie pas qu’il est anodin. Il s’arrête également sur les parasitoses intestinales, exposant comment déloger oxyures ou ténias, en insistant sur la nécessité de traiter non seulement l’enfant infecté mais toute la maisonnée et d’associer à l’opération des mesures d’hygiène.
Mise en ligne : 21/03/2014